Biorésonance

« Tout dans la vie n'est qu'énergies et vibrations. »
Albert Einstein

La biorésonance est une méthode d’analyse énergétique corporelle qui se base sur les ondes produites par les êtres vivants. Chaque organisme émet et capte des rayonnements qui peuvent être mesurés en ondes hertziennes. Ces ondes peuvent ensuite être analysées à l’aide d’appareils qui vont vérifier la qualité vibratoire et énergétique des organes et corriger les déséquilibres, soit dans un but préventif, soit pour aider à la guérison de certaines pathologies. 

Comme on sait qu’il est possible d’agir sur une onde, grâce à une autre onde, les appareils de biorésonance peuvent « ré-informer » les cellules et ainsi, les rééquilibrer en envoyant des ondes aux fréquences souhaitées. La biorésonance est utilisée pour faire un bilan global de l’activité électrique de l’organisme, pour repérer éventuellement des anomalies électromagnétiques au sein des organes et les rectifier en utilisant des ondes correctrices qui sont envoyées vers l’organisme.

George Lakhovsky (1869 – 1942)

Ce scientifique d’origine Russe naturalisé Français a eu l’intuition géniale que les cellules pouvaient communiquer entre elles en utilisant des ondes et non uniquement par biochimie ou impulsions électriques. Il en a déduit que si la communication était perturbée, les tissus environnants tombaient malades.

Il a donc travaillé sur des géraniums à qui il a greffés des tumeurs, qu’il a ensuite entourées d’un simple fil de cuivre en guise d’oscillateur afin d’aider les cellules à nouveau à résonner entre elles de manière cohérente. Conclusion : non seulement la plante malade guérissait mais elle grandissait plus rapidement que les autres.

Lakhovsky est vraiment le précurseur de la biorésonance. Il a ensuite développé son système en inventant une machine destinée aux humains : l’oscillateur à résonance multiple permettant de traiter toutes les cellules du corps.

Les plus grand hôpitaux du monde ont testé sa machine avec succès. En France l’hôpital de la Salpêtrière ou encore l’institut Pasteur se sont servis de sa machine. De nombreuses photos de patients atteints de cancers ainsi que des lettres de témoignages de grands scientifiques de l’époque attestent de l’efficacité de sa méthode comme l’image ci-contre d’une femme présentant une tumeur près de l’oeil.

Il se fait malheureusement renverser en 1942 par une voiture. Des soupçons pèsent encore aujourd’hui sur la nature de l’accident. En effet, Lakhovsky n’avait besoin que d’un peu d’électricité et de fils électriques pour guérir des patients cancéreux, déclenchant ainsi la colère de certains laboratoires pharmaceutiques de l’époque. 

Rapidement, curieusement, ses machines installées dans les hôpitaux aux quatre coins de la planète disparaissent dans la semaine qui suit son décès.

La Russie : experte en biorésonnance

Progressivement, les russes prennent le relais. Et sont devenus les spécialistes toutes catégories de la biorésonance et de l’application d’ondes multiples pour soigner toutes sortes de maladies en inventant des machines miniaturisées. Les chinois, très ouverts par leurs cultures aux médecines douces, se sont également équipés de milliers de machines. En France, on y travaille la plupart du temps en toute discrétion.

Aujourd’hui, la Russie tient les rênes de la recherche en biorésonance. Pourquoi ? Pour deux raisons.

– La première est que non seulement la majeure partie de la population Russe n’a pas les moyens de se traiter en utilisant des médicaments chers et coûteux mais également que le système de santé Russe n’a pas de budget conséquent. Les scientifiques ont donc dû travailler sur des pistes peu onéreuses. Imaginez qu’on vous dise qu’en réalité vous n’avez besoin que d’un peu d’électricité pour mieux vous porter et que cette technologie n’a aucun effet secondaire et n’est pas douloureux ? C’est exactement ce qui se passe la bas.

 Il se servent également de cette technologie pour assurer le suivi de leurs cosmonautes, spécialistes des vols de longues durées. 

– La deuxième raison est culturelle. Son puissant voisin, la Chine, lui a transmis des traditions médicales plusieurs fois millénaires où le travail vibratoire sur les énergies fait partie du travail de tout médecin. Les Chinois pensent que c’est un dérèglement vibratoire, de l’énergie, le Chi (ou Ki ou Qi) , qui est à l’origine de l’apparition de symptômes et ensuite de la maladie. Si vous ne soignez pas la cause de ce dérèglement vibratoire, les symptômes reviendront.

Les recherches continuent 

Alexander Gurvitsch, biologiste, dans les années 1920 démontre que deux plantes sans contact communiquent par ondes lumineuses. Un premier pas très important ! Ces travaux seront confirmés dans les années 1960 avec des techniques beaucoup plus performantes.

Plus récemment le professeur Vladimir Kaznacheiev, membre de l’Académie de médecine, prouve que les symptômes d’infections peuvent se transmettre également par voie vibratoire et électromagnétique.

C’est un Allemand Fritz-Albert Popp, chercheur et directeur de l’institut de biophysique à Neuss, qui mesure avec succès ces ondes lumineuses avec précision et leur donne un nom : les bio-photons. Il anime aujourd’hui les recherches sur sa découverte au niveau mondial. 

Des projets internationaux lui ont permis de collaborer avec des scientifiques tels que Walter NaglIlya Prigogine et David Bohm. Il a fait partie des invités de l’Académie des sciences de New York et des invités étranger de l’Académie russe des sciences naturelles (RANS). Il a travaillé à l’université de Princeton.

Alexandre Gurwitsch - biologiste russe à l'origine de la théorie des champs morphogénétiques et de la découverte du biophoton1. Lauréat du prix Staline en 1941.
Popp, Fritz-Albert - chercheur et fondateur de l’institut de biophysique à Neuss

Aujourd’hui

la Chine fabrique tous les ans, sous licence Russe, 300000 machines à ondes millimétriques (issues des recherches de la biorésonance) pour ses services et praticiens de santé !

La Russie poursuit plus que jamais ses recherches notamment à Pouschino, ville universitaire.

En France,  le Dr Murzeau, directeur du laboratoire Artec en Gironde, a repris les travaux d’Antoine Priore. Ce dernier a pendant 25 ans de 1950 à 1975 conçu d’imposantes machines où il a soigné des nombreuses tumeurs sur des animaux. De nombreux articles s’en sont suivis y compris à l’académie des sciences. Puis, curieusement, une première polémique a pris des proportions incroyables. L’homme est décédé et ses travaux sont tombés dans l’oubli pendant un certains temps. Voici son site : http://www.priore-cancer.com

 

Dr Murzeau, directeur du laboratoire Artec en Gironde - Cancer et bioresonance